samedi 7 octobre 2017
Mon après-midi avec Bardot...
Aujourd'hui je me suis réveillée pas très bien vers 11h30, j'ai manqué mes activités et reçu de nombreux appels auxquels je n'ai pas répondu...Et ne sachant trop que faire je suis allée au parc Théodore-Monod, un parc très agréable et particulièrement beau pour profiter du soleil même si ce n'est plus vraiment l'époque... J'avais emmené la biographie de Brigitte Bardot, car en ayant lu quelques articles sur elle, je m'étais rendue compte que sa personnalité pouvait vraiment être intéressante, ce qui ne mettait pas apparu jusque là....Le bouquin devait s'appeler " Vivre pieds nus", il s'apelle "Brigitte Bardot, plein la vue" ( je préférais le premier titre). Le style d'écriture est simple et précis, tout est bien documenté et on apprend beaucoup de choses. Même si à certains moment la biographe peut être par excès d'admiration pour Bardot, a tendance à un peu s'emballer et faire du sentimentalisme. Comme par exemple quand elle parle du naturel de l'actrice par opposition à ce qu'on pourrait appeler de la "pudiponderie" et de son animalité. Et elle vante le côté " de bonne famille" façon auteuil-neuilly-passy de Bardot ( on ne sait pas trop pourquoi car peu de gens peuvent s'y retrouver).
Bardot, inclassable, insaisissable
Je pense souvent qu'on a vraiment la faire cherché à la faire rentrer dans une catégorie. C'est vrai que Bardot avait un naturel désarmant, qu'elle disait ce qui lui passait par la tête...Elle avait une personnalité et qu'elle entendait à ce qu'on permette à sa personnalité de s'exprimer sans que personne n'ai rien à en redire...Bardot était VRAIE. Et elle se fichait complètement de ce qu'on pouvait penser d'elle et de ses actes. C'est sans doute ce côté femme-enfant immorale qui était le plus marquant chez elle. Y compris quand elle nouait des liens très fort avec la presse qu'elle condamnait à d'autres moments, notamment au moment de son accouchement. Cela ne l'a pas empêchée de nommer un de ses journalistes parrain de son enfant par la suite et d'apeler régulièrement des journalistes afin qu'il distillent dans leur journaux ce qu'elle souhaitait voir. Et, elle, avec toujours autant d'aplomb répliquait que " dans la vie il fallait savoir faire des relations de presse". Et cette fois où elle gifle un metteur en scène lors d'un tournage parce qu'il la brutalisait car elle avait éclaté de rire un jour dans une scène grave : " je n'ai pas besoin d'un malade mental" avait-elle crié. Elle n'en finit plus de surprendre. Bardot est vraie : elle est inclassable, elle peut déplaire un jour à toute une catégorie de population et le lendemain plaire à une autre, celle-là même qui la fustigeait la veille. Bardot est forte, elle est capable de faire face à la terre entière si cela lui plaît. A suivre... Vie d'Ailes.
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https://youtu.be/C9tDhEbcTbE?feature=shared
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